Le Comité de Pilotage du Projet de Relance de la Production Agropastorale dans les Savanes PRÉPAS tient sa Session à mis-parcours sous l'égide des Ministres Tutelles de l'Agriculture et de l'Elevage Éric ROKOSSE-KAMOT et Hassan Bouba. Ceci a eu lieu à l'hôtel Oubangui ce jour 17 Janvier 2023.
De prime abord, le Projet PREPAS apparaît comme l'un des Projets du Gouvernement sous Tutelles du Ministère de l'Agriculture et celui de l'Elevage agissant dans le Cadre de l'amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, aussi de consolider les acquis de l'ancien projet PREVES avec une nouvelle vision de l'intégration progressive de nouveaux Villages et Groupements.
Aujourd'hui, le PREPAS est arrivée en sa troisième année d'exécution sur les 6 ans prévus de sa durée. C'est pourquoi, le dit Projet fait sa Revue à mi-parcours en vue d'identifier les acquis qu'il faut consolider et des insuffisances qui ont fait l'objet de critique.
En prenant la parole, le Ministre de l'Agriculture a déclaré que " Pour l'exercice 2023, la coordination du Projet s'est basée sur le Document de Conception du Projet, le Manuel d'exécution et le tableau des coûts et les recommandations de la Revue à Mi-Parcours pour l'élaboration du PTBA et le Plan de Passation des Marchés, les quels Documents sont préalablement soumis au Comité Technique d'Appui National de Pilotage pour Validation afin de mieux appuyer la production agricole dans la zone du PREPAS. "
Durant les discussions après la présentation de la Revue à Mi-Parcours exécutée par le Coordonnateur du dit Projet LeParfait Wenceslas Magoumbala Ngoayo , quelques réactions ont été émises sur le retard qu'à connu le Projet dans son exécution pendant les trois premières années auprès de ses bénéficiaires dans ses zones cibles afin de poursuivre les objectifs fixés. Il s'agit des résultats attendus touchant les domaines de structuration des organisations Paysannes des Producteurs, la mécanisation des activités agricoles etc.
En réponse, le Coordonnateur dudit Projet a promis rattrapé ces retards car , à l'époque, c'était des problèmes liés au COVID 19 et l'insécurité généralisée sur le territoire qui ont freiné les actions sur le terrain dans les zones cibles.